C’est bientôt Pâques, et j’ai décidé de vous proposer une troisième recette de mouna (ici, la mouna à la levure, et là, réalisée au levain). Pourquoi une nouvelle recette ? Parce qu’elle est adaptée au goût moderne : les Pieds-noirs vous le diront, la mouna traditionnelle est plutôt sèche et pâteuse. Les versions que j’ai déjà publiées sont dans cette tendance. Mais avec l’évolution des habitudes alimentaires, les gens préfèrent maintenant les brioches plus moelleuses, plus riches aussi. Au fil du temps, j’ai développé cette nouvelle version, qui fait un tabac auprès de ma famille et de mes amis, elle est donc « moderne ». Joyeuses Pâques !
Mise à jour du 29 mars 2020 : quand j’ai écrit ces lignes, on ne parlait pas de Covid-19, encore moins de confinement. Depuis, l’épidémie est passée par là, et nous sommes nombreux à ne plus avoir de farine, ce qui rend la réalisation de cette recette difficile en ce moment. J’ai quand même décidé de publier la recette, parce que pour moi, Pâques sans mouna, ce n’est pas Pâques.
En ces temps de confinement, je vois passer sur les réseaux sociaux beaucoup de demandes de recettes réconfortantes : traduisez : « plein de sucre, de beurre et de chocolat« . Donc, voilà une recette de cookies au chocolat au lait, au sarrasin et au kasha. Vous verrez, elle déchire ! Le kasha, ce sont juste des graines de sarrasin grillées. Vous les trouverez dans les magasins bio, en vrac ou en sachet. Personnellement, j’achète mes graines de sarrasin non grillées, et je les grille moi-même.
Je continue ma série de recettes vietnamiennes, apprises aux cours de cuisine duFoyer Vietnam à Paris. Après, les nems, voilà la recette du Bo Bun. Ce n’est pas très compliqué à réaliser, ni très long, si on a pris la peine de faire des nems à l’avance et qu’on les sort du congélateur au moment voulu. Comme la plupart des recettes asiatiques, il faut tout préparer à l’avance, et faire la cuisson au dernier moment. Mieux vaut être deux pour la cuisson, une personne pour s’occuper de la cuisson du bœuf, l’autre pour les nems.
Cette gelée de mandarines est fantastique ! Quand j’étais petite, on trouvait beaucoup plus facilement des mandarines que des clémentines, puis la tendance s’est inversée. La faute paraît-il aux pépins… Et puis miracle, mon épicerie de quartier préférée en vend maintenant tous les ans, des vraies, des bonnes, à l’arôme incomparable. J’ai voulu capturer cet arôme dans un pot, pour le retrouver une fois la saison des agrumes passée.
C’est pour cela que l’utilisation de pectine est indispensable pour cette recette : elle permet une prise rapide du jus de mandarines et la cuisson ultracourte préserve tous les arômes du fruit. Si j’avais fait une marmelade, le goût aurait été très différent.
J’Interromps ma série de recettes vietnamiennes pour vous proposer cette recette de Roscón de Reyes, la brioche des Rois espagnole. On me l’a réclamée surInstagram. Si vous ne connaissez pas, c’est une brioche parfumée aux agrumes et à l’eau de fleurs d’oranger, qu’on décore de fruits confits et de sucre perlé. J’ai adapté cette recette espagnole, et le résultat est parfait ! Avec ces quantités, vous pourrez faire un très grand Roscón, ou deux moyens.
Matériel spécifique : un robot pétrin ou une machine à pain, pinceau de cuisine
Voilà la troisième recette de ma série vietnamienne, à savoir, les nems ou chả giò (le nom change suivant la région du Vietnam, Nord ou Sud). Ce sont des nems très classiques, garnis de porc haché, vermicelles et champignons noirs, roulés dans des galettes de riz et frits en deux bains successifs. Bref, le nem classique de restaurant.
Très bonne année amis lecteurs, pleine de bonnes et belles choses.
La publication des recettes reprend bientôt, après un intermède dû à l’actualité sociale et diverses contingences matérielles. Comme promis, la prochaine recette sera vietnamienne. Au menu, il y aura des nems !
Comme promis, je poursuis la publication de la prise de notes de mes cours de cuisine vietnamienne, avec aujourd’hui un plat parfaitement de saison, le Phở au bœuf. La préparation du bouillon ressemble beaucoup à celle du pot-au-feu français, même si les ingrédients ne sont pas les mêmes.
Cela fait quelques mois que je suis des cours de cuisine au Foyer Vietnam de Paris. A la demande de mes amis, je publie toute une série de recettes vietnamiennes apprises en cours.
Mes amis m’ont réclamé en premier ce dessert, le Che Xoai suivront ensuite, et dans le désordre, la recette des nems, du bœuf Luc Lac (Bò lúc lắc), du bo bun nem, de la salade de papaye etc.
J’ai trouvé cette délicieuse recette sur le blog espagnol El Comidista l’année dernière, et depuis, j’ai dû refaire cet ajo blanco aux noix de cajou et au melon d’Espagne vert au moins dix fois. C’est une soupe glacée à servir les soirs d’été. Si vous ne connaissez pas l’ajo blanco, c’est un classique de la cuisine espagnole, une soupe froide traditionnellement préparée à base d’amandes, d’ail et de grains de raisin vert. Cette version est donc complètement revisitée, et elle vaut le détour.
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