Je ne sais plus trop comment j’ai découvert les biscuits napolitaines, des petits sablés fourrés de confiture de goyave ou de fraise, et recouvert d’un glaçage rose très « Barbie ». Je ne me souviens pas en avoir mangé à l’île Maurice, ou j’ai séjourné il y a cinq ans. C’est pourtant une spécialité mauricienne emblématique de l’île.
J’ai réalisé ceux que vous voyez il y a quelques semaines, à l’occasion de retrouvailles entre amies, et je vous propose donc la recette pour les faire vous aussi, à votre tour.
J’ai réalisé déjà deux fois cette recette de tartare de thon au basilic et à la marmelade d’orange amère. Dit comme cela, ça paraît une association improbable et pourtant c’est très bon. La marmelade d’oranges amères apporte en même temps de l’amertume et du sucre au tartare, et c’est vraiment chouette.
La recette de ce tartare de thon au basilic et à la marmelade d’oranges amère vient d’un vieux numéro de Cuisine actuelle, et je l’avais tentée l’année dernière, un jour où j’avais tous les ingrédients à disposition. J’ai récidivé cette semaine, et je me suis dit que ça serait chouette de vous en faire profiter.
La flemme fait parfois faire de belles choses, comme ce plat de fenouil rôti au jambon et à la burrata. En effet, j’ai eu envie de préparer du fenouil comme des endives au jambon et à la béchamel, à un moment où j’étais trop fatiguée pour préparer une béchamel. J’ai donc détourné la recette en cuisant des tranches de fenouil au four, avec du jambon blanc en fin de cuisson pour lui donner du croquant, et en ajoutant au moment du service de la burrata bien fraîche pour ajouter du crémeux au plat. Réussite totale et effet waouh ! sur les réseaux sociaux. J’ai donc refait le plat en calibrant la recette pour pouvoir la publier. Bonne nouvelle, c’était aussi bon la deuxième fois que la première.
Voilà donc pour vous la recette de ces cassolettes de fenouil rôti au jambon et à la burrata, à servir comme entrée chaude. Pour un plat principal, on peut augmenter les portions et accompagner de polenta.
Il fallait absolument que je partage avec vous cette recette de biscotti aux noisettes et à la farine de châtaigne : toutes mes collègues se sont consciencieusement resservies le jour où je les ai apportés au bureau. Ce sont des biscuits secs, parfaits pour tremper dans un thé ou un café. En Toscane, la version locale, les cantucci, se sert avec du vin santo.
Pour tout vous dire, cette semaine, j’ai eu envie de partager un petit truc sympa avec mes collègues. Je me suis décidée à pâtisser à 21 h passées et j’ai donc préparé ces biscuits un peu tard, avec ce qu’il y avait dans mes placards, sur le modèle des biscotti italiens. On prépare des pâtons qu’on cuit une première fois au four, puis on coupe des tranches qu’on repasse au four et on obtient donc des gâteaux cuits deux fois, des bis-cuits, donc.
Traditionnellement on fait les biscotti avec des amandes entières, comme je n’en avais pas, j’ai utilisé des noisettes et un peu de farine de châtaigne que j’avais dans un bocal. J’ai mis moins de sucre que la version classique, parce que la farine de châtaigne est déjà assez sucrée.
Comme tous les ans, depuis trèèèès longtemps, Zorra organise l’évènement et je participe aujourd’hui avec un pastis landais. OK, c’est plus une brioche qu’un pain, mais c’est tout de même une pâte levée, toute pleine de vanille, de rhum et de fleur d’oranger.
Au cas où vous ne connaîtriez pas, c’est une brioche originaire du Sud-Ouest, qu’on appelle aussi pastis bourrit, du latin pasticium. Ça vous dit quelque chose ? Ça veut dire gâteau, et de ce mot latin est dérivé notre français « pâtisserie »
La pâte est plus dense qu’une brioche parisienne, et on décore le pastis landais avec du sucre en grain.
Si vous avez un robot pétrin, la recette est facile à faire, en revanche, à la main, c’est beaucoup plus compliqué : la pâte est assez liquide, et il faut un bon coup de main et pas mal d’expérience pour la pétrir correctement.
Je pensais à en faire depuis un moment, et l’actualité internationale et française est tellement déprimante cette semaine que j’ai décidé vendredi de faire un gâteau doudou pour penser à autre chose.
Sauf que… il y a des tas de recettes sur Internet et pas une pour ressembler à l’autre. Je me suis inspirée de celle-là, d’une part parce que les proportions me semblaient correctes, d’autre part je trouvais rigolo qu’un camping publie une recette de cuisine.
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