Par ces temps frisquets, pour se réchauffer, un peu de cuisine espagnole ne nuit pas. Voilà donc une marmite de pois chiches mijotés avec des légumes et du chorizo. C’est de la cuisine familiale espagnole très simple, et en ce qui me concerne, c’est de la cuisine du placard : j’avais un bocal de pois chiches, des poivrons en conserve, du chorizo espagnol (du vrai, pas les trucs dégueus fabriqués en France) et une poignée de haricots plats au frigo. En 40 minutes, ça m’a permis de servir ce sympathique plat unique, qui a aussi l’avantage de très bien se réchauffer.
Si vous avez le temps, n’hésitez pas à préparer des pois chiches secs, simplement, il faudra vous y prendre la veille pour les faire tremper, et le jour J, prévoir 1 h 20 de cuisson à la casserole dans de l’eau non salée, ou bien 20 minutes à la cocotte-minute.
En saison, on peut bien sûr utiliser un poivron frais.
Je continue la publication de recettes vietnamiennes avec le porc au caramel. C’est un plat qu’on prépare pour la fête du Têt, le nouvel an vietnamien. Si vous savez faire un caramel, vous savez faire cette recette ! Il n’y a pas de difficulté particulière, et on trouve tous les ingrédients en supermarché, y compris le nuoc mam au rayon produits du Monde et l’eau de coco, au rayon boissons.
Cuisine vietnamienne, la suite, avec le fameux boeuf Luc Lac. Là encore, on trouve tous les ingrédients en supermarché. Et en période de confinement, avec un peu de chance vous aurez ce qu’il faut dans vos placards et congélateurs. L’œuf au plat est facultatif, si vous n’avez pas pu vous approvisionner, zappez-le. La recette est facile, à condition de bien s’organiser pour la cuisson : on fait tout cuire en même temps, mais dans des récipients séparés. Attention à la coordination !
C’est le premier plat que j’ai appris à faire aux cours de cuisine du Foyer Vietnam. Pour la petite histoire, un participant m’avait demandé de lui envoyer mes notes, prises sur mon téléphone, et c’est comme ça que j’ai décidé ensuite de les publier ici. Et que mon blog a repris vie.
Je continue ma série de recettes vietnamiennes, apprises aux cours de cuisine duFoyer Vietnam à Paris. Après, les nems, voilà la recette du Bo Bun. Ce n’est pas très compliqué à réaliser, ni très long, si on a pris la peine de faire des nems à l’avance et qu’on les sort du congélateur au moment voulu. Comme la plupart des recettes asiatiques, il faut tout préparer à l’avance, et faire la cuisson au dernier moment. Mieux vaut être deux pour la cuisson, une personne pour s’occuper de la cuisson du bœuf, l’autre pour les nems.
J’Interromps ma série de recettes vietnamiennes pour vous proposer cette recette de Roscón de Reyes, la brioche des Rois espagnole. On me l’a réclamée surInstagram. Si vous ne connaissez pas, c’est une brioche parfumée aux agrumes et à l’eau de fleurs d’oranger, qu’on décore de fruits confits et de sucre perlé. J’ai adapté cette recette espagnole, et le résultat est parfait ! Avec ces quantités, vous pourrez faire un très grand Roscón, ou deux moyens.
Matériel spécifique : un robot pétrin ou une machine à pain, pinceau de cuisine
Voilà la troisième recette de ma série vietnamienne, à savoir, les nems ou chả giò (le nom change suivant la région du Vietnam, Nord ou Sud). Ce sont des nems très classiques, garnis de porc haché, vermicelles et champignons noirs, roulés dans des galettes de riz et frits en deux bains successifs. Bref, le nem classique de restaurant.
Comme promis, je poursuis la publication de la prise de notes de mes cours de cuisine vietnamienne, avec aujourd’hui un plat parfaitement de saison, le Phở au bœuf. La préparation du bouillon ressemble beaucoup à celle du pot-au-feu français, même si les ingrédients ne sont pas les mêmes.
Cela fait quelques mois que je suis des cours de cuisine au Foyer Vietnam de Paris. A la demande de mes amis, je publie toute une série de recettes vietnamiennes apprises en cours.
Mes amis m’ont réclamé en premier ce dessert, le Che Xoai suivront ensuite, et dans le désordre, la recette des nems, du bœuf Luc Lac (Bò lúc lắc), du bo bun nem, de la salade de papaye etc.
Cet été, à l’occasion d’un séjour en Espagne, j’ai appris que dans certaines régions du pays, on fait de l’aïoli sans œufs, mais avec du lait. Non seulement c’est pratique si on n’a plus d’œufs ou qu’on y est allergique, mais en plus, cela donne une belle blancheur à l’aïoli.
J’ai fouiné sur le web pour trouver une recette et j’ai essayé celle-ci (en espagnol). Non seulement elle est super facile, mais en plus, elle est parfaite : j’ai obtenu un aïoli très stable, et bien équilibré en terme de saveurs.
Le seul hic, c’est qu’il faut un blender pour le faire. Je ne crois pas qu’on puisse monter ce type d’aïoli à la main. (suite…)
Il y a quelques mois, je suis allée à Palma de Majorque pour des vacances, et j’en suis revenue avec un livre de cuisine et de la soubressade.
Si vous ne connaissez pas la soubressade, c’est une charcuterie en forme de saucisse, qu’on trouve sous forme piquante ou douce, et qui se cuisine de mille et une manières. Une des plus simples, c’est celle-là, les œufs à la soubressade. Ça se fait en deux temps trois mouvements, et je trouve que ça fait un repas idéal, avec une salade de tomates, quand on n’a n’y l’envie ni le temps de cuisiner. (suite…)
En visitant La Cocinera loca, vous acceptez l'utilisation des cookies. En savoir plus
Les paramètres des cookies sur ce site sont définis sur « accepter les cookies » pour vous offrir la meilleure expérience de navigation possible. Si vous continuez à utiliser ce site sans changer vos paramètres de cookies ou si vous cliquez sur "Accepter" ci-dessous, vous consentez à cela.