Cela fait quelques mois que je suis des cours de cuisine au Foyer Vietnam de Paris. A la demande de mes amis, je publie toute une série de recettes vietnamiennes apprises en cours.
Mes amis m’ont réclamé en premier ce dessert, le Che Xoai suivront ensuite, et dans le désordre, la recette des nems, du bœuf Luc Lac (Bò lúc lắc), du bo bun nem, de la salade de papaye etc.
Cet été, à l’occasion d’un séjour en Espagne, j’ai appris que dans certaines régions du pays, on fait de l’aïoli sans œufs, mais avec du lait. Non seulement c’est pratique si on n’a plus d’œufs ou qu’on y est allergique, mais en plus, cela donne une belle blancheur à l’aïoli.
J’ai fouiné sur le web pour trouver une recette et j’ai essayé celle-ci (en espagnol). Non seulement elle est super facile, mais en plus, elle est parfaite : j’ai obtenu un aïoli très stable, et bien équilibré en terme de saveurs.
Le seul hic, c’est qu’il faut un blender pour le faire. Je ne crois pas qu’on puisse monter ce type d’aïoli à la main. (suite…)
Il y a quelques mois, je suis allée à Palma de Majorque pour des vacances, et j’en suis revenue avec un livre de cuisine et de la soubressade.
Si vous ne connaissez pas la soubressade, c’est une charcuterie en forme de saucisse, qu’on trouve sous forme piquante ou douce, et qui se cuisine de mille et une manières. Une des plus simples, c’est celle-là, les œufs à la soubressade. Ça se fait en deux temps trois mouvements, et je trouve que ça fait un repas idéal, avec une salade de tomates, quand on n’a n’y l’envie ni le temps de cuisiner. (suite…)
Après le morceau de bravoure de la semaine dernière, à savoir la recette du turron Jijona, je vous propose cette semaine une recette qui n’offre aucune difficulté et qui vient d’Italie, ou plus précisément d’Émilie, à savoir l’erbazzone. (suite…)
Si vous ne connaissez pas, le turrón Jijona est un genre de nougat mou, spécialité de la ville de Jijona en Espagne. En ce qui concerne l’appellation d’origine protégée, il est réalisé à base d’amandes Marcona, de miel de fleur d’oranger produit dans la région de Valence, de sucre et de blanc d’œuf et c’est de tradition d’en offrir à Noël. (suite…)
Si vous suivez mon blog depuis longtemps, vous savez que je célèbre le jour des Morts tous les ans, à la mexicaine, avec en plus des tamales, guacamole et tortillas maison, une brioche très particulière lePan de muerto, emblématique de cette fête, et dont le façonnage représente les os des morts. (suite…)
Aujourd’hui, c’est le World Bread Day ! Pour l’occasion, voici une recette espagnole, les ensaimadas, des viennoiseries de pâte levée légèrement feuilletée en forme d’escargot, qu’on consomme nature, ou bien fourrées de confiture de cheveux d’ange (une variété de courge) ou encore de soubressade.
La préparation des ensaimadas est assez originale et bien qu’on utilise du saindoux, la méthode rappelle beaucoup les recettes arabes, en particulier la fabrication de la pâte à baklava puisqu’on étire la pâte jusqu’à ce qu’elle devienne transparente.
Seconde originalité : la pâte se fait soit avec du levain, soit avec une pâte fermentée et contrairement à la plupart des pâtes à pain, il n’y a qu’une seule levée, qui dure 12 heures. En ce qui me concerne, j’ai choisi de les préparer avec une pâte fermentée. (suite…)
Comme promis, après la recette de la horchata de chufas, voici celle des fartóns. Ces petits bâtons de pâte briochée ont été mis au point dans les années 1960 spécialement pour accompagner la horchata. Leur forme permet en effet de les plonger dans le verre accompagnant la boisson. (suite…)
Connaissez-vous la horchata ? C’est un lait végétal qu’on sert à Valence (en Espagne) depuis la nuit des temps, réalisé à partir de souchet (« chufas » en espagnol), un petit tubercule cultivé à Alboraya, une commune située à la périphérie de la ville. C’est aussi là qu’on trouve toutes les fabriques de horchata de la région, et j’ai même eu l’occasion d’en visiter une pendant mes vacances. Hé oui ! J’ai passé trois semaines à Valence et j’en profite donc pour vous proposer des recettes de la région. (suite…)
Je suis tombée sur cette recette au milieu d’une liste élaboréepar le site américain Saveur qui proposait des idées de plats à base de thon en boîte. J’ai trouvé l’idée de mélanger une boîte de conserve avec de la noix de coco râpée fraiche plutôt marrante et j’ai profité d’une expédition dans le quartier indien de Paris pour rapporter ladite noix de coco râpée et mettre la recette à exécution.
Je n’ai jamais mis les pieds aux Maldives, donc j’ai farfouillé un peu sur le net pour en savoir plus. J’ai appris que ce plat fait partie de la cuisine quotidienne des habitants et qu’il se sert avec des pains plats de style indiens comme les rotis (connus aussi sous le nom de chapatis). Tel quel, servi en salade c’est aussi très bon.
Auparavant, les Maldiviens utilisaient des restes de poisson cuit pour faire leur Mas Huni, mais ils sont désormais abonnés au thon en boîte. Je me suis demandée si c’était un effet du tourisme qui rendait le poisson frais inabordable aux insulaires, mais d’après ce blog, c’est plutôt une commodité liée aux effets de la vie active. (suite…)
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