Je viens de rentrer de vacances à Amsterdam et Bruxelles, c’était très chouette. Le temps de m’occuper de mes photos et de rédiger un compte-rendu gourmand, j’ai pris un moment pour rédiger une petite recette afin de vous faire patienter.
Vous me l’aviez demandée, voici donc la recette des pommes de terre à l’oseille et aux rillettes d’Alain Passard.
J’ai bien aimé le mélange oseille crue/oseille cuite/rillettes qui m’a fait penser à un déjeuner du dimanche de printemps à la campagne, la table dressée dehors dans un jardin de curé. (suite…)
J’espère que vous ne vous êtes pas ennuyés pendant mon absence ?
J’ai encore des examens médicaux à faire et je suis en attente de traitement, donc je suis toujours très fatiguée, mais comme j’ai envie de bloguer, j’ai décidé de publier toute une série de recettes qui dormaient dans mes tiroirs.
Ne vous étonnez donc pas s’il y a des produits hors saison dans le tas, certaines recettes datent de plus d’un an.
J’ai parlé il y a quelque temps de l’oseille dans la cuisine normande, et j’ai donc décidé pour mon retour de vous proposer une recette typiquement normande, à savoir, les œufs à l’oseille et à la crème. Si vous pouvez, utilisez de la crème crue, c’est vraiment meilleur que la crème de supermarché.
J’ai fait un petit ajout personnel, à savoir une boîte de thon au naturel dans la sauce. Ça n’a rien de traditionnel, mais c’est super bon ! (suite…)
JP me disait cet été que j’étais exceptionnelle parce que j’avais de l’oseille dans mon frigo, et qu’à son avis, c’est plutôt rare.
En fait pas tant que ça, cela dépend d’où l’on vient. C’est une plante assez commune en Normandie, et on la cuisine avec sa copine indissociable, la crème crue normande, soit en soupe, soit avec des œufs, soit avec du poisson.
J’ai grandi avec le goût de l’oseille, parce qu’il y en avait à foison dans le jardin de mes grands-parents, et que cette oseille-là, elle a une histoire.
En effet, les plants qui ont servi à faire cette recette ont au moins 60 ans. À l’origine, ils poussaient dans le jardin de mon arrière-arrière-grand-mère, que je n’ai pas connue. À sa mort, mon grand-père a récupéré les pieds de son jardin et de déménagements en déménagements, l’oseille familiale s’est installée de jardins en jardins.
Elle pousse désormais chez tous mes oncles et tantes et aussi chez ma mère, qui la cultive en pot plutôt qu’en pleine terre.
Je crois qu’à mon tour, l’année prochaine, je ferai croître et multiplier l’oseille familiale sur ma terrasse. (suite…)
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