Si vous avez lu mon blog ces dernières semaines, vous savez que j’ai passé mes vacances aux États-Unis. J’ai presque fini de trier, sélectionner, ranger mes photos, et en exclusivité pour vous, amis lecteurs, voici un petit compte-rendu en images de mes vacances américaines.
Pour la petite histoire, jusqu’à cet été, la seule chose que je connaissais des États-Unis, c’étaient les aéroports en transit (la sécurité, l’immigration, l’immigration la sécurité, bref des trucs bien longs et casse-pieds quand on ne fait que passer quelques heures entre deux avions) et donc là, je vous raconte l’Amérique du Nord avec les yeux tout neufs d’une petite frenchie qui n’y avait jamais mis les pieds.
Comme d’habitude, quand je vous fais le récit de mes vacances, j’ai intercalé photos de vacances et photos de cuisine (avec pas mal de junk food à l’intérieur). D’ici quelques semaines, vous aurez droit à une autre série « Lost in the supermarket » où je vous présenterai mes trouvailles culinaires (avec des trucs dont je n’imaginais même pas l’existence).
Alors, pour commencer, j’ai passé 15 jours à Oneonta, petite ville universitaire dans l’État de New York où j’ai des amis très chers. Et l’État de New York (pas la ville hein ?) c’est ma-gni-fique.
C’est boisé, vallonné, avec de très jolies maisons en bois, des granges comme dans les jeux de construction des années 1950. Vraiment un très bel endroit.
Une ferme avec sa grange et son silo. Les propriétaires ont à la fois une activité agricole (de ce côté-ci de la ferme) et de l’autre côté, ils vendent des glaces et des gâteaux.
L’autre côté de la ferme, le comptoir des glaces.
Une véranda, typique de la région à Cooperstown. La ville a été fondée par le grand-père de Fenimore Cooper, mais si, vous savez, l’auteur du « Dernier des Mohicans« .
Hamburger bacon et oignons à Cooperstown, État de New York. Il était délicieux, et c’est le seul endroit où on m’a proposé autre chose que des chips ou des frites en accompagnement. Ici des fruits, mais j’avais aussi le choix avec du coleslaw.
Cooperstown a vu naître le tout premier terrain de baseball des États-Unis. La ville demeure la capitale de ce sport, auquel je ne comprends strictement rien…
La boutique de baseball. En France, j’imagine que des mômes seraient scotchés devant la boutique du PSG ou de l’OM, ceux-ci contemplaient battes, gants et balles avec beaucoup d’envie.
Côté nourriture, les États-Unis, c’est vraiment le pays du « trop ». Ces quatre gaufres sont destinées à une seule personne.
Toujours dans le « trop » : nous avions demandé le plus petit format de glace…
Les chutes du Niagara, vues d’en bas (en bateau). C’est LE truc à faire si vous n’êtes pas loin, et que votre passeport vous permet de passer côté canadien pour les voir. J’ai adoré. C’est beau, c’est impressionnant, et même si c’est très touristique, ça vaut le coup. Le tour en bateau peut se faire du côté canadien comme du côté américain. Coté américain, nous avons payé 17 dollars, et ça les valait largement.
Les mêmes vues d’en haut, côté canadien. La colonne d’eau est projetée vers le haut par la violence des chutes. Et même tout en haut, on est saisi par la fraîcheur de la brume d’eau.
Mon premier hot-dog américain. Normalement, on ne met pas autant de trucs dessus (relish, choucroute, moutarde, ketchup etc.) mais je l’ai fait pour vous montrer tout ce qu’on peut ajouter au sandwich de base.
Ce sandwich était très bon, mais servi avec des chips... Si j’ai très bien mangé chez mes amis, qui cuisinent très bien et cultivent fruits et légumes dans leur jardin, à l’extérieur c’est une autre affaire. Soit c’est de la junk food vraiment pas terrible, soit c’est bon, mais fruits et légumes sont la plupart du temps absents. C’est très dur d’arriver à l’équilibre alimentaire, et tout est gras, sucré…
De la cuisine maison faite par ma copine Janis. Les collard greens sont une variété de feuille de chou vert, mais je ne sais pas à quoi ça correspond en français. Les saucisses Kielbasa ressemblent au goût à nos saucisses de Montbéliard.
Un évènement marrant où je suis allée : The Great Americain Irish Festival. Plein d’Américains d’origine irlandaise, en kilt, qui jouaient de la cornemuse, dansaient des danses irlandaises et chantaient des chansons celtiques.
Toujours le Great Americain Irish Festival. Le temple de la « junk food« . Tout était dégueulasse, dixit mes amis (et moi-même). Ici, un stand qui vendait des « frozen bananas » trempées dans du chocolat et des boissons servies dans ces espèces de palmiers en plastique.
The Great Americain Irish Festival, toujours. Ce qui m’a frappée aux États-Unis, c’est l’odeur omniprésente de friture : dans la rue, dans les restos, les supermarchés, au fast-food. Et surtout c’est une odeur de graisse cuite, recuite et trop cuite. Pas génial pour la santé.
Manhattan et Brooklyn Bridge, New York. C’est comme dans les films. Le seul truc qui n’est pas comme dans les films, ce sont les aoûtats : je dois être la seule touriste a avoir été piquée par ces sales bestioles à New York !
Chelsea Market, New York. Je ne m’en suis pas remise (et j’ai été incapable de goûter ce truc) : des chips avec du caramel au beurre salé et du chocolat. Le tout vendu dans un magasin de sucreries un peu chic.
C’était la pleine saison du homard du Maine. Ici photographiés au Chelsea Market à New York, le seul endroit où j’ai vu du poisson frais et entier, avec la tête.
Mofongo au Smorgasburg à Brooklyn. Le Mofongo, c’est de la street food portoricaine : de la banane plantain cuite et écrasée pour former un bol, dans lequel on met un plat en sauce, et par-dessus, des chicharrones.
New York, les réservoirs d’eau.
Sel « La Baleine », au Chelsea Market à New York. Vraiment vendu à prix d’or.
Les taxis jaunes, vus depuis la Highline.
Des tacos « fusion » toujours au Chelsea Market. Très bons, c’était un mélange Asie/Amérique Latine, plutôt réussi.
Tout est dans le titre. Ma copine m’a expliqué que malheureusement, l’héroïne est devenue une drogue de consommation courante aux États-Unis. D’où des messages de prévention omniprésents.
Au fast-food, sur le bord de l’autoroute. Voyez la taille du sandwich.
« Jesus Christ loves you » et des filles à poil, le drapeau américain peint sur les seins. Le « Babylon » des rastas, c’est ça ?
Times Square, les néons. J’aurai encore plein de images à partager avec vous, mais ça sera pour la prochaine fois.
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Oh du corn bread, la texture a l’air différente et croquante, c’est du fait-maison également? Je gouterai bien du mofongo, tiens!
@Madeleine, oui le corn bread a été fait maison par ma copine Janis 🙂