Pasión mexicana, un site franco-mexicain à découvrir
Vous êtes nombreux à venir chez moi pour savoir comment on fait des tortillas mexicaines, donc je suppose que la culture mexicaine vous intéresse. (suite…)
Vous êtes nombreux à venir chez moi pour savoir comment on fait des tortillas mexicaines, donc je suppose que la culture mexicaine vous intéresse. (suite…)
Comme promis, voici un authentique morceau de bravoure culinaire : il faut deux jours pour préparer ce plat, et on ne peut commencer à faire la pâte des tamales qu’une fois le bouillon fait et le mole poblano terminé. Une consolation, les tamales et le mole poblano se congèlent très bien, ça vaut donc le coup d’en faire des tonnes à l’avance.
Les ingrédients sont très difficiles à trouver en France, et à moins que comme moi, vous ayez des fournisseurs privés ou spécialisés, je doute que vous vous lanciez dans cette recette.
Je la donne plutôt à titre informatif, si vous êtes curieux et non hispanophone ou si quelqu’un peut vous ramener ce qu’il faut après un séjour là-bas.
Vous trouverez tout à la fin des liens sur d’autres recettes mexicaines que j’avais publiées l’année dernière. Sur celles-ci, des liens et des adresses pour acheter les ingrédients. (suite…)
Aujourd’hui, je vous propose le pain des morts qu’on mange traditionnellement au Mexique pour la Fête des morts, le 2 novembre c’est-à-dire demain. Il s’agit plus d’une brioche qu’un pain, et le goût me rappelle beaucoup la Mouna que nous autres pieds-noirs mangeons à Pâques, est-ce également un signe de résurrection ?
Il y a différentes formes, je vous propose la plus classique : les petits bâtons que vous voyez autour de la boule centrale symbolisent les os des défunts. Sur la photo, un pain des morts que j’ai réalisé il y a deux ans, quand je travaillais pour l’association Arômes et Saveurs. Nous avions organisé une exposition sur les fêtes des morts dans le monde et j’avais fait ce pain pour l’affiche de l’expo. Les têtes de morts (calaveras en espagnol) que vous voyez autour n’ont rien à voir avec les gadgets vendus pour Halloween : on les trouve partout au Mexique pour cette fête, tout comme de petites têtes en sucre qu’on croque d’une seule bouchée. (suite…)
Comme promis, voici le dernier avatar de ma série de recettes mexicaines, après les conchas, la sopa azteca et le potaje, le mode d’emploi pour faire les tortillas de maïs.
Celle-ci n’ont rien à voir avec les horreurs qu’on trouve au rayon tex-mex des supermarchés français (jetez un œil à la composition sur le paquet, vous verrez). Déjà une tortilla c’est plutôt blanc, à la rigueur bleu si on utilise de la farine de maïs bleu, mais certainement pas jaune ! Ensuite c’est plutôt petit : entre 15 et 18 cm de diamètre.Le plus dur en France (ailleurs en Europe, je ne sais pas) c’est de trouver la farine ad hoc, c’est-à-dire de la farine de maïs nixtamalisée : le maïs est traité avec de la chaux et du citron vert, ce qui permet d’une part de façonner les tortillas et d’autre part cela renforce la teneur du maïs en je ne sais plus quelle vitamine, qui fait normalement défaut dans cette céréale. En espagnol on dit « Masa harina »
Je vous donne des liens et des adresses en fin de recette pour que vous puissiez vous en procurer. (suite…)
Concha, en espagnol, ça veut dire coquillage. C’est comme ça qu’on appelle les coquilles St-Jacques, et c’est aussi le nom de ces petites brioches mexicaines parfumées au zeste d’orange. Ayant fait un petit tour au Mexique au mois de mai, j’ai eu envie de refaire ce que j’avais vu là-bas. A faire sur deux jours pour avoir une brioche bien levée et moelleuse. (suite…)
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