Voici venir les frimas et l’humidité de l’automne… Ça vous dirait de se réchauffer avec un osso buco à la vanille de Tahiti ? J’ai pensé qu’une petite touche polynésienne serait bienvenue pour renouveler un grand classique des plats mijotés. J’ai servi avec des patates douces, mais si vous avez, vous pouvez accompagner votre osso buco de taro ou d’igname, ou bien de manioc.
Et si vous voulez vraiment vous sentir à Tahiti, n’hésitez pas à servir avec ce pain coco.
Vous connaissez le pain coco qu’on mange en Polynésie ? C’est une sorte de pain de mie brioché à la saveur douce et sucrée.
Il y a des années de ça, j’avais publié une recette qui n’a rien à voir avec la vraie, faute d’en avoir trouvé une sur place. Depuis, de l’eau a coulé sous le pont de l’Internet mondial et les Polynésiens ont partagé leurs recettes sur les blogs ou les réseaux sociaux. Voici donc une recette « comme là-bas » que je dois à une autre Pia, qui vit à Tahiti et que j’ai un peu arrangée à ma façon. Tama’a maita’i ! (suite…)
Aloha ! Un barbecue made in Hawaï ça vous dit ? Huli signifie « tourner » en hawaïen, si vous ne connaissez rien aux langues polynésiennes 😉
Le poulet Huli Huli est donc un poulet qu’on a fait mariner et qu’on tourne et retourne ensuite sur la braise, en prenant soin de l’enduire d’une sauce sucrée salée à chaque tour. (suite…)
L’ahima’a en français dans le texte, c’est la méthode traditionnelle tahitienne pour cuire les aliments, et ce n’est pas à la portée du premier venu.
En effet, faire un authentique ahima’a implique de pouvoir cuisiner en plein air, de faire un trou dans le sol, d’y faire brûler du bois sur lequel on fait chauffer à blanc des pierres volcaniques , puis de disposer les aliments à cuire sur les pierres, de recouvrir le tout de feuilles de bananiers, puis de sacs de jute, puis de terre et d’attendre plusieurs heures avant de pouvoir déguster les aliments. Ceux-ci auront pris au cours de la cuisson un délicieux goût fumé.
Bref, c‘est faisable en Polynésie et encore pas vraiment en milieu urbain, mais nettement plus dur en région parisienne….
Si vous avez lumon dernier billet, vous savez que j’ai reconstitué un four tahitien dans une marmite lors d’une bringue à la maison. Nous avons testé une méthode proposée par un site maori , pour faire un hangi. J’étais tombée là-dessus il y a quelques mois et je m’étais promis d’essayer, voilà qui est fait. Je confirme ce que dit l’auteur : ça marche ! (suite…)
Il y a 8 jours j’ai invité des copains pour une bringue chez moi, autour de l’idée : « on mange tahitien et vous apportez vos ukulélés ». C’est ce que nous avons fait.
Nous nous sommes retrouvés entre créateurs de la toute jeune association Maohi Paris, pratiquantes de danse tahitienne et joueurs de ukulélé pour une chouette journée aux accents du Pacifique. Il manquait juste le lagon ! (suite…)
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