Assiette garnie d'osso buco à la vanille de Tahiti  et de patates douces posée sur une nappe bleue aux motifs tropicaux



Voici venir les frimas et l’humidité de l’automne… Ça vous dirait de se réchauffer avec un osso buco à la vanille de Tahiti ? J’ai pensé qu’une petite touche polynésienne serait bienvenue pour renouveler un grand classique des plats mijotés. J’ai servi avec des patates douces, mais si vous avez, vous pouvez accompagner votre osso buco de taro ou d’igname, ou bien de manioc.

Et si vous voulez vraiment vous sentir à Tahiti, n’hésitez pas à servir avec ce pain coco.

Assiette de service garnie d'osso buco à la vanille de Tahiti, de patates douces et de légume, posée sur une nappe à motifs tropicaux.


Ingrédients pour 4 personnes
1 kg d’osso buco de veau
1 oignon
1 carotte
2 courgettes
800 g de patate douce
1 gousse d’ail
1/2 gousse de vanille de Tahiti
1 verre de vin blanc (Chardonnay pour moi)
Huile d’olive
Eau chaude
Ingrédients facultatifs :
2 citrons verts
1 piment rouge
Noix de coco râpée fraîche

Réalisation
Préchauffer le four à 180°C.
Éplucher l’ail, l’oignon et la carotte. Hacher l’ail, émincer l’oignon, couper la carotte en rondelles fines, et la courgette en gros morceaux.
Faire chauffer l’huile dans une sauteuse et y saisir la viande sur les deux faces.
Ajouter l’oignon émincé et les rondelles de carotte. Baisser le feu, laisser revenir quelques instants, et déglacer avec le vin blanc. Ajouter le zeste râpé des citrons verts, et leur jus, ainsi que la demi-gousse de vanille.
Disposer les morceaux de courgette, saler et recouvert d’eau chaude.
Enfourner et cuire pendant deux heures.
Trente minutes avant la fin de la cuisson, ajouter les patates douces pelées et coupées en morceaux, et remettre de l’eau chaude si nécessaire. Les patates douces doivent être recouvertes du liquide de cuisson.
Poursuivre la cuisson jusqu’à ce que les patates douces soient tendres.
Accompagner de piment frais et de noix de coco râpée pour servir.

J’ai utilisé seulement une demi-gousse de vanille de Tahiti, c’est suffisant pour infuser le plat. Vous trouverez ici des astuces pour conserver et utiliser votre vanille

J’ai écrit la recette telle que je l’ai faite, mais : on ne sentait pas le citron vert à la dégustation, ce n’est donc pas la peine d’en mettre dans le plat.

Concernant la noix de coco râpée fraîche, c’est pareil, cela n’ajoute rien au plat. J’en avais mis pour décorer, et aussi parce que je n’ai pas voulu mettre de lait de coco dans mon plat, que e je trouvais suffisamment riche comme ça.

Pour le piment, c’est différent : le plat est très doux, je trouve que le piment le relève bien. Mais comme il y a beaucoup de gens qui n’aiment pas ça (aïe ! ça pique !) vous faites comme vous le sentez.

En visitant La Cocinera loca, vous acceptez l'utilisation des cookies. En savoir plus

Les paramètres des cookies sur ce site sont définis sur « accepter les cookies » pour vous offrir la meilleure expérience de navigation possible. Si vous continuez à utiliser ce site sans changer vos paramètres de cookies ou si vous cliquez sur "Accepter" ci-dessous, vous consentez à cela.

Fermer