Eh oui, cette purée si savoureuse que l’on voit à la télévision avec cette mère qui prépare avec autant d’affection le plat préféré de ses têtes blondes (et les têtes brunes ?), me direz vous, comment faire pour la réaliser sans grumeaux rebelles, hantise de toutes les cuisinières aux talents émérites ?
Mais avant d’y répondre, petit retour dans les années 70-80 avec cette séquence nostalgie :
Avouez que cela vous rappelle votre quotidien, non ? en parlant de quotidien, celle-la est une perle, que je n’avais pas oublié… que personne ne peut oublier !
Allez, assez rigolé, soyons sérieux et voici mes conseils pour faire une purée réussie à chaque fois :
- Achetez de la marque, la dissolution du flocon est de meilleur qualité. Par contre, le goût est proche entre toutes les marques, bien que les plus chers font « un peu » moins fausse purée.
- Achetez la purée basique. Évitez les purées de type « à la crème », « à la noix de muscade », etc… Mieux vaut, vous, rajouter de la crème ou de la noix de muscade ou tout autre élément, franchement, ça n’en sera que meilleur et pas plus cher !
- Respectez les quantités de liquide : 1/2 d’eau pour 1/4 de litre de lait. Ajoutez un peu plus d’eau ou un peu moins d’eau pour rendre votre purée plus ou moins compact/liquide, mais ne modifiez pas de trop ces quantités. je vous épargne l’ajout du sel (ah si, je l’ai écrit ^_^;,)
- Utilisez une -grande- casserole, les flocons auront une plus grande surface de contact avec le liquide. En ce qui me concerne, cela ne rate jamais, si j’ai qu’une petite casserole sous la main, j’ai plus un effet grumeaux…
- Coupez le feu dès que le lait+eau est en ébullition (au bord du débordement).
- Versez les flocons rapidement et uniformément, tout en mélangeant avec une fourchette. Attention, si vous versez tout d’un coup sur le lait+eau encore en ébullition, il y a risque de débordement !! Contrairement au consignes présentent sur la boite, il faut bien mélanger tant que c’est bien chaud et -ne pas laisser reposer- car c’est la que les grumeaux apparaissent (les traitres !!).
- Si tout s’est bien passé, vous devez avoir une purée sans grumeaux. il est maintenant temps d’ajouter ce que vous voulez dedans. En général, j’y rajoute du poivre du moulin, un peu de fromage râpé (non, pas le paquet de 500g…), une lichette de crème épaisse. Si je ne met pas de fromage rapé, je rajoute du beurre et non les deux en même temps, pour éviter de mettre trop de gras dans ce plat Ô combien gastronomique.
- Servir rapidement, pour éviter l’effet « croute » qui peut se former sur la purée.
La purée de ma grand mère paternelle : c’est un à côté qui en fera peut être bondir certaines et certains, mais elle faisait la purée qu’à l’eau, ne salait pas et ajoutait à l’eau un cube de bouillon de poule plus une feuille de laurier séché coupée en deux. Et ben j’adoraiiis ! manque de bol, ma femme n’aime pas le côté « soupe » en sachet que ça donne…
Allez, c’était le billet pas sérieux, mais qui vous sauvera peut être les soirs de coup de bourre avec les têtes blondes qui crient famine et que le courage se fait vacant…
brotha, I love you.
Sœurette (l’autre à LA hein !), fais attention çà ce genre de commentaires, on croirait un spam pour un site de rencontre 🙂
Au passage, je crois que de nous trois, seul moi aimais la purée de notre grand mère, non ?
Soeurette (la Cocinera loca :)), tu as la recette des pralines ? Sinon, faut que je la demande avant qu’il soit trop tard… et zut, j’ai pas d’évier en inox !
Note : traduire le blog…
effectivement, je deteste la purée en flocons quelle que soit son origine.
Pour la recette des pralines faut que tu demandes (et après t’es sympa tu partages).